Au départ, il n’y avait rien que l’idée d’aller contre le vent.
Je n’aime pas qu’on m’impose, qu’on m’interdise, quoi que ce soit, même à raison.
Toujours dire « mais », dire « surtout pas », prendre la tangente...

L’envie aussi d’aller voir les copines, les copains, les gens que j’aime bien.
Savoir que tout le monde allait bien dans cette vie en pause.

On vivait l’Histoire, on la vivait loin chez soi. Elle rejoignait l’intime.

Alors j’ai pris mon vélo et j’ai fait la course avec le soleil.


Et un reportage sur la genèse de cette série ici